samedi11 avril 1931, La Presse est un grand quotidien montréalais publié depuis 1884. L'influence des journalistes de La Presse s'étend aujourd'hui au-delà du lectorat du journal et plusieurs d'entre eux sont invités à commenter l'actualité dans d'autres médias.Montréal :[La presse],1884-2017
Depuis la mise à jour d'Animal Crossing New Horizons, il est possible d'agrandir son musée afin d'obtenir la section des Œuvres d'Art. Au total, il y a 43 tableaux et sculptures à collectionner auprès de Rounard et à rapporter à Thibou. A noter qu'il est aussi très intéressant de collectionner les contrefaçons afin de décorer son île avec de jolies statues ou de profiter d'effets surnaturels de certaines œuvres... Dans ce guide, vous trouverez toutes les informations nécessaires pour déterminer si la tablette édifiante est une contrefaçon ou non. Comment obtenir des œuvres d'art ? Suivez notre guide pour agrandir votre musée et débloquer la Galerie d'Art, Attendez que Rounard vienne sur votre île, En allant à l'intérieur de son bateau, vous pourrez acheter qu'une seule Œuvre parmi les tableaux et sculptures présents. Chaque œuvre coûte 4980 clochettes, que ce soit une contrefaçon ou non, Avant d'acheter une œuvre, vous pouvez l'examiner afin de déterminer s'il s 'agit d'un Faux ou non, En achetant une œuvre, vous la recevrez le lendemain dans votre boîte aux lettres. Informations sur la Tablette Édifiante Nom réel Pierre de Rosette Artiste Inconnu Période deuxième siècle avant notre ère. Type Granodiorite La tablette édifiante fait parti des œuvres hantées du jeu la contrefaçon peut briller en bleu. Voici la description officielle présente dans Animal Crossing New Horizons "Cette tablette en pierre trouvée en 1799 à Rosette Égypte a permis de déchiffrer les hiéroglyphes. Un texte quasiment identique y est rédigé d'abord en hiéroglyphes, puis en égyptien démotique, puis en grec. " Comment reconnaître la contrefaçon de la Tablette édifiante ? La tablette édifiante possède bel et bien une contrefaçon dans Animal Crossing New Horizons. N'oubliez donc pas de l'examiner avant de l'acheter. Pour reconnaître le Faux, il vous suffit d'observer la couleur de la pierre Sur le Faux, la pierre est bleue. Sur le Vrai, il faut donc que la pierre soit grise.
Publishingplatform for digital magazines, interactive publications and online catalogs. Convert documents to beautiful publications and share them worldwide. Title: TCSH du 28 02 22 N°1661, Author: BAUER MEDIA REGIE, Length: 124 pages, Published: 2022-03-01

Hellopposum! Hello Stegos et Siam. Opposum a écritOu se joue alors la lenteur et la complexité de Windows ?Quand je suis revenu hier soir, j'ai visuellement complètement zappé ta question. Pas vu donc. Bien que je partage pas mal d'opinion avec Stegos, je vais répondre ce matin à ta question en des termes les plus clairs, les plus concis et les plus éclairés, techniquement y a toujours 2 aspects dans un ordinateur. La partie physique hardware qui la machine proprement dite. Et la partie logiciel software qui comporte à la fois le système d'exploitation, les logiciels, les réglages et les données utilisateurs. Pour répondre à la question du plantage ou de la lenteur, il faut savoir que c'est deux parties hardware et software peuvent en être à l'origine. Parfois, une seule des deux parties en sera le cause. Parfois les deux parties se superposent et cumulent les problèmes. De plus, et pour finir sur ce point, il y a un nombre très large de configurations hardware+software possible au monde, ce qui fait que, aucun ordinateur ne ressemble à son voisin. Il a donc 100 000 000 possibilités et plus de pannes et de lenteurs partie 1 Où se peut se donc se jouer la lenteur de windows?Quelques exemples possibles parmi de très nombreuses L'utilisation d'un disque dur d'ancienne génération hdd accouplé avec un Windows très récent qui demande beaucoup d'accès fréquent, et donc monopolise le disque sans cesse. ou/et- L'installation d'un Windows très récent sur une machine dont le processeur est très ancien. Ce n'est d'ailleurs pas l'âge du processeur qui rentre en compte mais bien sa capacité technique, figée dans le temps lors de sa fabrication, à bosser en brassant beaucoup de données. Beaucoup trop de données, en fait pour sa capacité de calcul, et donc, ce qui ne peut être calculé tout de suite, demeure quelque temps en file d'attente, y compris, les sollicitations immédiates de l' L'utilisation d'une génération de barrettes de RAM et/ou d'une quantité de cette RAM insuffisante par rapport aux besoins des logiciels démarrés par l'utilisateur. Dans ce cas, souvent, le système va recourir à une barrette de RAM artificielle qui, sous Windows s'appelle "mémoire virtuelle" et sous Linux, "swap". Puisque cette fausse barrette de secours est en réalité un espace réservé sur le disque dur, celui-ci se met alors à gratter de manière quasi continue et fait s'effondrer d'un seul coup les performances et le temps de réaction de la Un logiciel de type défragmenteur ou antivirus résident tourne en continu sur la machine en plus du système d'exploitation obligatoire et d'autres logiciels annexes, définis ou pas par l'utilisateur. Quand un seul ou plusieurs de ces logiciels consomment abusivement les ressources de la machine, c'est à dire l'espace en RAM, l'espace dans la "mémoire virtuel", l'accès disque très fréquent et/ou l'accès processeur trop important, les disponibilités finales pour l'utilisateur s'effondrent et celui-ci ne peut que voir ses requêtes exemple, un simple clic de souris être mise en file d'attente et disposer d'une priorité de traitement assez basse. D'où des délais d'attente qui disparaissent souvent au redémarrage de la machine, mais reviennent après quelques heures ou minutes, L'installation, souvent involontaire, voire masquée, d'un logiciel malveillant dont le but prédéfini par son/sa programmeur/meuse sera soit, de faire volontairement effondrer les ressources de la machine, soit d'utiliser ces mêmes ressources pour faire sortir des données régulièrement de la machine à l'insu de l'utilisateur, soit aussi d'utiliser toujours et encore ces mêmes ressources pour une mission de calcul dédiée à un usage externe cryptomonnaie. Ces programmes sont tous répertoriés sous l’appellation générique malwares. Mais en réalité, c'est une famille extrêmement large dont la nature légale peut être licite comme L'utilisation d'un programme par l'utilisateur, ou parfois "sous-traité" de manière transparente par le système d'exploitation, et dont la programmation aurait été mal réalisée dès le départ. Là, présentement, on ne parle pas forcément de bug, qui serait quelque chose davantage de l'ordre de faire planter simplement la machine ou le programme en lui-même, mais plutôt de redondances cycliques. C'est à dire en mots clairs, des lignes de programmation qui demanderaient au processeur de calculer puis recalculer presque indéfiniment un processus qui va de l'opération A à l'opération B, avant de passer enfin à l'opération C. Tout le temps passé de A à B est du travail réel pour le processeur, mais pour l'utilisateur qui patiente, ce n'est finalement que du temps perdu. Et puisque qu'ils sont quand-même très nombreux, ces logiciels qui présentent ce type de défauts techniques, il s'avère alors que l'expérience utilisateur soit vite dégradée au point de devenir gênante et que tout un chacun se prenne tôt ou tard l'envie de dire face à son écran "mais pourquoi ça rame autant?"Question, partie 2 Où se peut se donc se jouer la complexité de Windows?Cette partie de question est impossible à répondre de manière simple. Je vais donc toucher à l'essentiel. Déjà, il faudrait savoir de quel Windows on parle 95, 98 SE, seven, 10?... version serveur, OEM, pro ou Home?, et surtout installé sur quelle type de machine? très vieux Thinkpad sous Pentium 3, ou PC ATX de gamer sous core i9 overclocké? Aussi, de combien de cores et threads dispose-t-on dans le processeur? Combien de barrettes de RAM et quelle taille pour chacune? Quel slot d'accès de type IDE 100 ata, SATA3, ou PCIe, pour la partie stockage, autrement appelée, disque dur? Si la tendance générale veut que plus la machine est récente et plus Windows est rapide, il s'avère que ce n'est pas toujours le cas, et parfois un vieux Xp de 20 ans couplé à un processeur mono-coeur pas tout jeune puisse avoir des performances supérieures en terme de rapidité par rapport à un Windows 10 installé sur une machine moderne, mais notamment empêtrée dans des accès disque médiocres, parasitée aussi par des logiciels embarqués de mauvaise conception tout autant que des logiciels non-invités les malwares qui sont venu là foutre le bazar à cause d'une sécurité informatique particulièrement modo, le tout est de produire une situation d'équilibre entre la partie hardware la machine et la partie software l'OS+les logiciels+les réglages, ce que Linux pour sa part - même s'il n'est pas exempt de défauts, loin de là - a presque réussi à produire, en s'appuyant prioritairement sur une éthique forte en matière de programmation et de diffusion de ses pour qu'un Windows fonctionne bien et durablement, la recette presque idéale est celle-ciUne machine équipée de- Un processeur plutôt très puissant, même s'il est d'occasion ou de fabrication un peu Une quantité de RAM deux fois plus conséquente que les besoins réels, pour éviter facilement la mauvaise surprise du message indiquant "qu'il n'y a pas assez de mémoire pour exécuter une tâche".- Un disque dur de type SSD qu'importe la taille. Même un petit fonctionna rapidement. vous n'aurez simplement pas beaucoup d'espace pour vos grosses données personnelles. Au passage, qui dit SSD dit abandon des outils de défragmentation dédié exclusivement aux HDD, leurs prédécesseurs, qui sont de plus en plus des consommateurs de ressources en temps réel. Une vraie plaie dont il faut apprendre à se débarrasser rapidement!- Une carte graphique qui soit en corrélation avec l'usage et la diagonale de votre dalle d'écran. Surtout ne jamais sous-dimensionner les performances du GPU le processeur de la carte graphique si on a l'intention de s'adonner à des jeux modernes. - Un Windows compatible avec la génération du matériel désiré. C'est malheureusement souvent un choix qu'on ne peut pas vraiment faire et on doit se contenter de ce qui est en vigueur à l'instant T, ou bien de ce qui peut soutenir officiellement les configurations requises de ses programmes personnels. Là dessus, Linux est bien plus souple, même si ses versions sont largement plus encadrées et extrêmement directives dans les versions des logiciels proposés. en clair, à de rares exceptions, on ne greffe pas un bout de Linux sur un autre, à la volée. Il faut respecter des numéros de versions et des protocoles d'installation très droits.- Des mise à jour pour l'OS et pour les logiciels qui soient raisonnés, car parfois, les mises à jour mineures font plus de mal que de bien. Le total-update est parfois une erreur, et il ne faut pas céder systématiquement aux sirènes alarmistes des médias. Il faut donc faire preuve de discernement, souvent au cas par Des logiciels plutôt bien supportés nativement par Windows et dont la réputation est fiable dans le temps. Il est donc inutile de télécharger à tout va pour disposer d'un milliers d'outils qui ne font parfois pas plus que les propres outils de l'OS lui-même. Également, il ne faut pas installer systématiquement tout ce qui peut vous être proposé sur internet, c'est vraiment là la source du début des ennuis qui vont augurer une complexité de plus en plus grande de votre système, ainsi que parfois de nombreux ralentissements à venir et des bugs à Toujours à propos des logiciels, il est important de ne pas confier aveuglément sa sécurité à un antivirus résident qui va s'emparer de votre machine et en dévorer les ressources pour tout surveiller, sans discernement. Pour cela, il vaut mieux adopter des comportements plus safes et plus responsables, et recourir massivement moins à des assistants qui ne sont en fait que des vitrines commerciales, souvent payantes et chères, et dont la structure est parfois aussi bourré de failles et de défauts de programmation qui exposent à plus de risques que, comparativement, lorsque ces logiciels ne sont pas présents. Donc, moins c'est mieux! Et moins votre machine est encombrée de processus inutiles ou exotiques, et moins elle passera du temps à ramer. siamois93 a écritMais où en serait l'informatique sans Microsoft ?J'aurais plutôt dit Intel, AMD, IBM, Apple et Microsoft. Les trois premiers pour les puces, le quatrième pour l'apport démocratique de la souris qu'ils ont volé à Xerox et enfin Microsoft pour le côté enfin user-friendly qui a fait passer les ordinateurs de grosses machine barbares des scientifiques à blouse blanche au petit PC de salon... Il n’empêche, si Gates et Jobs n'avaient pas été de la partie, un autre fou serait de toute façon entré en lice et aurait proposé une autre approche de la chose. C'était quand même une sacré époque de bouillonnement intellectuel et on oublie un peu vite tous les petits ateliers dans des garages qui ont périclité en quelques années seulement, sans laisser de trace dans l'Histoire. Et ça n'aurait pas forcément été moins bon perso, j'ai encore du mal à accepter que nos cartes graphiques en slot ventilent par le bas à cause de standards AT complètement dépassés techniquement. Il y a peut-être un gars qui aurait pensé le truc différemment, et mieux. Édifiante aussi l'économie de moyen débile qui est à l'origine de la création du port USB faussement détrompeur. Qui ne s'est jamais trompé de sens en voulant insérer le bouzin dans son port? ^^ "Tiens, ça rentre pas! Et si je retourne? Ça rentre toujours pas! ??? Ha ben non, finalement c'était dans le bon sens."Si on a des PCs avec les performances actuelles c'est quand même grâce à plutôt une question de fondeurs. On aurait peut-être des processeurs moins balaises, certes, mais leur demanderait-on les mêmes les jeunes sont formés très jeunes de 30 ans et +, oui. Moins les vingtenaires, hélas. Ça commence à se sentir malheureusement. Certains commencent déjà à ne plus se projeter du tout sur le hardware, car ça, c'est l'affaire de Samsung et Huawei. Pour eux, le PC, c'est dépassé et tout doit migrer, dans les dix ans qui viennent vers les smartphones et autres tablettes qui accueillent des roms complètes ou custom "sur demande", et dans lesquels on ne modifie pratiquement plus les settings, même quand c'est rooté. Je suis de plus en plus en train de me mettre à la page de ces technologies là et je vois bien que le rapport à l'auto-formation des jeunes n'est pas le même que pour ma/notre génération de quadra. En fait, ils sont davantage demandeurs de modèles aux prefs sans cesse plus grosses pour installer sans peiner jeux et multimédia. Ne leur parle même pas d'un traitement de texte! Mais peu s'occupent concrètement de mettre les mains dans le code et les ressources. C'est pour ça qu'ils me délèguent le bordel à chaque fois, même s'il veulent m'épater ensuite avec le smartphone à 999 € qu'ils se sont payé, 3 jours avant, et le comparer à mes 3 modèles perso dont les prix varient entre 75€ maximum... et, le fond de la poubelle. Pour ça, c'est bien le confinement. Parce qu'ils ne viennent pas m’embêter avec leurs Androids à la noix, à mettre à jour avec des APK rétro-ingénieurée en mode manuel... C'est vraiment la plaie à faire, je te jure!Les petits patrons ont été très contents d'avoir un serveur sous Windows où ils pouvaient faire leur compta/gestion clients/sauvegardes/ étaient aussi moins contents des coût corollaires et des contrats d'entretien qui leurs tombaient sur les reins au bout de quelques années. Certains on voulu passer tardivement sous Linux. Mais ils ont raté le coche à cause d'une mise en oeuvre plus trop en adéquation avec leur culture informatique vieillissante. Du coup, nombreux sont restés sous Windows en espérant tenir comme ça jusqu'à la fin d'activité. Windows, durant la période 2000, n'a pas laissé que des bons souvenir chez les pros. J'étais parfois utilisateur par délégation chez des clients qui jouaient tout sur windows pour leurs sécurités. J'ai le souvenir d'avoir assisté à quelques violation d'adresse IRQ qui ont générées des sueurs froides aux gestionnaires de site, puis des angoisses quand ils ont compris que les partenaires de maintenance ne savaient pas ce qu'ils faisaient, ou bien avait mis la clé sous la porte. Stupeurs et tremblements! Et puis Linux, c'est un peu hardos. Le paramétrage X-windows où tu risques de cramer ton écran, bonjour. N'écrit pas ça, Siam, sinon, il y a vraiment des personnes sur le forum qui vont croire que l'écran peut prendre feu! Pour rétablir un peu la vérité, on peut dire que Linux nécessite encore un bagage technique un peu trop important pour s'y mettre sans échec quand on est tout seul. Toutefois, cela se résorbe de plus en plus et il y a même des distributions faites pour permettre à présent le passage aisément de Windows vers pour les débutants qui ont une très bonne configuration matérielle, ils peuvent toujours se tourner vers KDE qui se fait presque tout à la souris. Ce windows manager est certes plus lourd, mais quand tu as compris comment fonctionne le dossier /home et que tu as pigé comment synaptic se démerde avec les paquets et les sources avec la volonté de se passer définitivement des logiciels windows ou de retrouver autrement les grands classiques inter-plateformes tels que VLC ou libreoffice, la prise en main se fait alors ensuite très vite. Ce que je n'aime pas dans Linux c'est tout le pas grave que Linux soit parfois un folk de Windows sur l'aspect esthétique. Moi non plus je n'aime pas, mais qu'importe. Il en faut pour tout le monde. Ceux/celles qui n'ont besoin que d'un terminal et ceux/celles qui cliquent compulsivement. Linux, pour ça, est assez plastique pour satisfaire tout les besoins. A chacun-e son windows-manager, à chacun-e son bientôt. Hig..

bIjuohS.
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